Les migrations, l’emploi et le travail sous le système capitaliste
Texte issu de la rencontre internationale du réseau, des 8 et 9 juin 2015
Solidaires (CM)
Les migrant-es sont bien accueilli-es tant que le capital en a besoin, lorsque ce besoin cesse, ils et elles deviennent le « problème de l’immigration ».
On sait bien que le capitalisme a la « vertu » de transformer en marchandise tout ce qu’il touche. L’eau, la terre, les animaux, l’alimentation, les voitures..., tout est considéré comme marchandise et la vie des êtres humains n’y échappe pas. L’emploi non plus ; généralement appelé travail, il se traduit par le salariat et son universalisation sous forme de marchandise est une des caractéristiques du système capitaliste.
L’impérialisme utilise la main d’oeuvre immigrée pour ses besoins d’exploitation et de gains. Ainsi lorsque ces pays ont besoin d’une main d’oeuvre bon marché, de grandes campagnes officielles de promotion de l’immigration sont organisées. Puis, au gré des besoins, les frontières sont bouclées repoussant ainsi la marée de chômeurs/euses que ce même impérialisme produit dans leurs pays d’origine [...]
On sait bien que le capitalisme a la « vertu » de transformer en marchandise tout ce qu’il touche. L’eau, la terre, les animaux, l’alimentation, les voitures..., tout est considéré comme marchandise et la vie des êtres humains n’y échappe pas. L’emploi non plus ; généralement appelé travail, il se traduit par le salariat et son universalisation sous forme de marchandise est une des caractéristiques du système capitaliste.
L’impérialisme utilise la main d’oeuvre immigrée pour ses besoins d’exploitation et de gains. Ainsi lorsque ces pays ont besoin d’une main d’oeuvre bon marché, de grandes campagnes officielles de promotion de l’immigration sont organisées. Puis, au gré des besoins, les frontières sont bouclées repoussant ainsi la marée de chômeurs/euses que ce même impérialisme produit dans leurs pays d’origine [...]