Soutien aux camionneurs en grève en Iran
Solidaires (CM)
Déjà, du 22 au 31 mai, la grève des camionneurs avait touché une centaine de villes en Iran. Leurs revendications portaient sur :
• L’augmentation de la rémunération des camionneurs suite à la hausse de prix des pièces détachées et l’entretien des poids lourds, la hausse de la commission des sociétés de transport, la hausse des péages, la baisse des subventions combustibles et la suppression des aides publiques…
• La reconnaissance de la pénibilité du métier.
• L’augmentation de la retraite.
• L’entretien des routes qui deviennent dangereuses et ont causé beaucoup d’accident ces derniers temps.
Le régime iranien a fait des promesses, tout en menaçant les grévistes. Les véhicules poids lourds de l’armée et des « gardiens de la révolution » ont été utilisés pour casser la grève. Le gouvernement n’a pas donné suite à ses engagements. Aussi, les camionneurs ont repris la grève le 22 septembre. Le mouvement est d’une ampleur encore plus forte que celui du mois de mai. L’Etat iranien réprime : des centaines d’arrestations, des accusations graves préludes à des emprisonnements de longue durée…
Les organisations membres du Réseau syndical international de solidarité et de luttes manifestent leur appui aux camionneurs d’Iran en lutte et appellent à étendre la solidarité, notamment en diffusant l’information sur la grève.
Nous renouvelons aussi notre soutien aux collectifs de travailleurs et de travailleuses qui organisent en Iran le véritable syndicalisme, celui de celles et ceux qui luttent pour l’amélioration de leurs conditions de vie et pour l’émancipation.
• L’augmentation de la rémunération des camionneurs suite à la hausse de prix des pièces détachées et l’entretien des poids lourds, la hausse de la commission des sociétés de transport, la hausse des péages, la baisse des subventions combustibles et la suppression des aides publiques…
• La reconnaissance de la pénibilité du métier.
• L’augmentation de la retraite.
• L’entretien des routes qui deviennent dangereuses et ont causé beaucoup d’accident ces derniers temps.
Le régime iranien a fait des promesses, tout en menaçant les grévistes. Les véhicules poids lourds de l’armée et des « gardiens de la révolution » ont été utilisés pour casser la grève. Le gouvernement n’a pas donné suite à ses engagements. Aussi, les camionneurs ont repris la grève le 22 septembre. Le mouvement est d’une ampleur encore plus forte que celui du mois de mai. L’Etat iranien réprime : des centaines d’arrestations, des accusations graves préludes à des emprisonnements de longue durée…
Les organisations membres du Réseau syndical international de solidarité et de luttes manifestent leur appui aux camionneurs d’Iran en lutte et appellent à étendre la solidarité, notamment en diffusant l’information sur la grève.
Nous renouvelons aussi notre soutien aux collectifs de travailleurs et de travailleuses qui organisent en Iran le véritable syndicalisme, celui de celles et ceux qui luttent pour l’amélioration de leurs conditions de vie et pour l’émancipation.
