Turquie : libérez Tuna Altinel et tous les prisonniers et prisonnières politiques !
Solidaires (CM)
Tuna Altinel est maître de conférences à l’Université Claude Bernard Lyon 1 ; de nationalité turque il réside et travaille à Lyon depuis 1996. Son passeport lui avait été confisqué le mois dernier, à son arrivée à l’aéroport d’Istanbul. Le samedi 11 mai, il a été jeté en prison.
Officiellement, son incarcération est motivée par sa participation à une soirée organisée par une amicale Kurde, à Lyon, en février 2019. Un député de l’opposition, en exil, y participait ; un film montrant des massacres commis par le pouvoir y fut projeté.
Comme des centaines d’autres, Tuna Altinel est en réalité agressé par l’Etat turc pour avoir signé la pétition pour la paix qui, en janvier 2016, dénonçait la répression exercée envers la population Kurde.
Rien ne justifie ni l’incarcération, ni le retrait du passeport de Tuna Altinel !
Depuis des années, les universitaires sont dans le collimateur du pouvoir en place en Turquie. Kurdes, syndicalistes, grévistes, journalistes, universitaires … le régime d’Erdogan veut faire taire toute contestation et prétend anéantir toute aspiration démocratique. La solidarité internationale des travailleurs et travailleuses est un des moyens de lutter contre la répression d’Etat qui s’exerce en Turquie. Les organisations membres du Réseau syndical international de solidarité et de lutte exige la libération de tous les prisonniers et toutes les prisonnières politiques !
Officiellement, son incarcération est motivée par sa participation à une soirée organisée par une amicale Kurde, à Lyon, en février 2019. Un député de l’opposition, en exil, y participait ; un film montrant des massacres commis par le pouvoir y fut projeté.
Comme des centaines d’autres, Tuna Altinel est en réalité agressé par l’Etat turc pour avoir signé la pétition pour la paix qui, en janvier 2016, dénonçait la répression exercée envers la population Kurde.
Rien ne justifie ni l’incarcération, ni le retrait du passeport de Tuna Altinel !
Depuis des années, les universitaires sont dans le collimateur du pouvoir en place en Turquie. Kurdes, syndicalistes, grévistes, journalistes, universitaires … le régime d’Erdogan veut faire taire toute contestation et prétend anéantir toute aspiration démocratique. La solidarité internationale des travailleurs et travailleuses est un des moyens de lutter contre la répression d’Etat qui s’exerce en Turquie. Les organisations membres du Réseau syndical international de solidarité et de lutte exige la libération de tous les prisonniers et toutes les prisonnières politiques !
