Décembre chaud sur les rails européens !
Solidaires (CM)
Cela fait des années que le patronat et les gouvernements s’attèlent à détruire le service public ferroviaire. Les résistances des cheminots et cheminotes ont permis de limiter la casse, de retarder les échéances, de manière inégale selon les pays. Des batailles ont aussi été gagnées, grâce à la détermination et l’unité des collectifs de travail : dans les entreprises publiques, dans les services externalisés, dans les entreprises privées nouvellement arrivées dans le secteur.
Nous sommes dans une période où les attaques patronales reprennent ; mais aussi où les révoltes populaires sont fortes. Le monde ferroviaire n’échappe pas à ce double constat. D’ores et déjà, nous savons que de nombreuses grèves sont annoncées dans la même période, en décembre.
En France, une grève nationale interprofessionnelle reconductible démarrera le 5 décembre. Plusieurs organisations syndicales y appellent. Dans le secteur ferroviaire, après SUD-Rail et FO, l’UNSA puis la CGT ont décidé d’en être partie prenante.
Dans l’Etat espagnol, SFF/CGT appelle à 4 heures de grève, également le 5 décembre. C’est la suite d’une campagne pour la défense du service public ferroviaire, pour la sécurité, pour les conditions de travail.
En Grande-Bretagne, RMT prépare une grève durant le mois de décembre à South Western Railway, à la suite de la décision patronale de remettre en cause, unilatéralement, un accord sur l’organisation du travail.
En Belgique, les équipes régionales de la CGSP Cheminots analysent le projet d’accord social 2020-2022 de la direction et les réponses à donner ; les propositions apparaissent inacceptables et la question posée sera celle de l’action collective pour s’y opposer et obtenir satisfaction sur les revendications syndicales. Cela pourrait bien se passer aussi en décembre…
France, Etat espagnol, Grande-Bretagne, Belgique …. Ca bouge ! D’autant qu’en octobre, il y a eu aussi des grèves nationales dans les chemins de fer de Norvège ou d’Italie par exemple. Plus que jamais, la coordination internationale est nécessaire ; elle doit reposer sur les décisions et actions de la base. Le Réseau Rail Sans Frontière et le Réseau syndical international de solidarité et de luttes sont des outils pour celles et ceux qui luttent !
Nous sommes dans une période où les attaques patronales reprennent ; mais aussi où les révoltes populaires sont fortes. Le monde ferroviaire n’échappe pas à ce double constat. D’ores et déjà, nous savons que de nombreuses grèves sont annoncées dans la même période, en décembre.
En France, une grève nationale interprofessionnelle reconductible démarrera le 5 décembre. Plusieurs organisations syndicales y appellent. Dans le secteur ferroviaire, après SUD-Rail et FO, l’UNSA puis la CGT ont décidé d’en être partie prenante.
Dans l’Etat espagnol, SFF/CGT appelle à 4 heures de grève, également le 5 décembre. C’est la suite d’une campagne pour la défense du service public ferroviaire, pour la sécurité, pour les conditions de travail.
En Grande-Bretagne, RMT prépare une grève durant le mois de décembre à South Western Railway, à la suite de la décision patronale de remettre en cause, unilatéralement, un accord sur l’organisation du travail.
En Belgique, les équipes régionales de la CGSP Cheminots analysent le projet d’accord social 2020-2022 de la direction et les réponses à donner ; les propositions apparaissent inacceptables et la question posée sera celle de l’action collective pour s’y opposer et obtenir satisfaction sur les revendications syndicales. Cela pourrait bien se passer aussi en décembre…
France, Etat espagnol, Grande-Bretagne, Belgique …. Ca bouge ! D’autant qu’en octobre, il y a eu aussi des grèves nationales dans les chemins de fer de Norvège ou d’Italie par exemple. Plus que jamais, la coordination internationale est nécessaire ; elle doit reposer sur les décisions et actions de la base. Le Réseau Rail Sans Frontière et le Réseau syndical international de solidarité et de luttes sont des outils pour celles et ceux qui luttent !