Chili : solidarité contre la répression exercée par le gouvernement Piñera !
Soutien à María Rivera, militante des droits humains
Solidaires (CM)
Nous nous associons à la campagne de solidarité internationale contre la répression sanglante que le président Piñera, et ses forces répressives construites sous la dictature de Pinochet, exercent contre les travailleurs.ses et le peuple chiliens qui mènent depuis plusieurs mois une lutte tout à fait juste contre la barbarie capitaliste qui ravage le pays depuis des décennies, sur un mode ultralibéral générateur d’immenses souffrances pour la très grande majorité de la population.
Malgré les mort.e.s, les mutilé.e.s, la torture, les arrestations arbitraires et les jugements scélérats, les masses opprimées du Chili poursuivent leur lutte héroïque, et continuent à réclamer le départ du président milliardaire Piñera et la fin du régime politique et social actuel, construit sous Pinochet, et qui ne profite qu’à une minorité de parasites argentés, aux banquiers et à l’impérialisme.
Dans ce cadre, María Rivera, militante et avocate des droits humains reconnue, reçoit de façon répétée des menaces de mort de la part de fascistes et de réseaux nauséabonds visant à faire taire celles et ceux qui luttent. Elle a œuvré à la défense de militant.e.s dans les luttes sociales (notamment les luttes étudiantes de 2005-2006 ; le mouvement Occupy ; la bataille des endettés résidentiels ; les grévistes et militant.e.s du mouvement ouvrier et syndical). Elle a été plaignante contre la police et les Troupes d’élites coupables de tortures. Actuellement, María Rivera est aussi plaignante contre le président Piñera pour crimes contre l’humanité. Depuis le début du soulèvement d’octobre 2019, elle défend des prisonnier.e.s et des jeunes accusé.e.s par le régime de divers crimes, et notamment d’avoir participé à la « Première ligne » dans les affrontements avec les forces répressives.
Nous tenons à lui exprimer toute notre solidarité et nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour faire connaitre cette sinistre réalité et demander des comptes aux complices de ce président assassin et des bandits fascisants qui l’entourent. A commencer par notre propre président et son gouvernement.
Malgré les mort.e.s, les mutilé.e.s, la torture, les arrestations arbitraires et les jugements scélérats, les masses opprimées du Chili poursuivent leur lutte héroïque, et continuent à réclamer le départ du président milliardaire Piñera et la fin du régime politique et social actuel, construit sous Pinochet, et qui ne profite qu’à une minorité de parasites argentés, aux banquiers et à l’impérialisme.
Dans ce cadre, María Rivera, militante et avocate des droits humains reconnue, reçoit de façon répétée des menaces de mort de la part de fascistes et de réseaux nauséabonds visant à faire taire celles et ceux qui luttent. Elle a œuvré à la défense de militant.e.s dans les luttes sociales (notamment les luttes étudiantes de 2005-2006 ; le mouvement Occupy ; la bataille des endettés résidentiels ; les grévistes et militant.e.s du mouvement ouvrier et syndical). Elle a été plaignante contre la police et les Troupes d’élites coupables de tortures. Actuellement, María Rivera est aussi plaignante contre le président Piñera pour crimes contre l’humanité. Depuis le début du soulèvement d’octobre 2019, elle défend des prisonnier.e.s et des jeunes accusé.e.s par le régime de divers crimes, et notamment d’avoir participé à la « Première ligne » dans les affrontements avec les forces répressives.
Nous tenons à lui exprimer toute notre solidarité et nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour faire connaitre cette sinistre réalité et demander des comptes aux complices de ce président assassin et des bandits fascisants qui l’entourent. A commencer par notre propre président et son gouvernement.