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Italie : soutenons les grévistes !
Solidaires (CM)
Les organisations syndicales membres du Réseau syndical international de solidarité et de luttes font connaître dans leurs pays respectifs les appels à la grève lancées par plusieurs organisations syndicales italiennes, le 25 mars. Grève générale de 24 heures, grève sectorielle et/ou régionale, grève symbolique dans certains secteurs vraiment essentiels : plusieurs syndicats de base italiens, dont des organisations membres du Réseau syndical international de solidarité et de luttes, appellent à la grève. Tous ces mouvements contribuent à la résistance des travailleurs et travailleuses face aux patrons et gouvernements qui, partout dans le monde, mettent en danger notre santé et nos vies et tentent de réduire toujours plus nos droits !
Partout, il faut limiter les activités professionnelles au strict nécessaire pour la vie de la collectivité ; arrêtons de faire prendre des risques à toutes les personnes qui ne le font que pour satisfaire « l’économie » c’est-à-dire en fait les profits d’actionnaires … qui, eux, d’ailleurs, ne s’exposent pas aux risques.
Les travailleurs et travailleuses, la population, avec leurs organisations syndicales, sont les mieux placés pour définir les activités vraiment essentielles ; elles doivent être réduites au strict minimum (ce qui se rapporte au sanitaire et à l’alimentation). Pour le reste, patrons et actionnaires ont accumuler assez de profits au fil des années ; ils peuvent très largement survivre même si les entreprises s’arrêtent quelques temps.
Celles et ceux qui travaillent dans des services effectivement essentiels sont les mieux placé.es pour définir dans quelles conditions le faire. C’est à eux et elles de définir l’organisation du travail, le temps de travail, les effectifs nécessaires etc. organiser collectivement le travail à tout point de vue (temps de travail, organisation, etc. ; pas aux patrons et aux « chefs » qui sont … chez eux.
Tous les travailleurs et toutes les travailleuses, quel que soit leur statut (salarié.es, indépendants, au chômage, intérimaires, saisonniers, etc.) doivent voir leur revenu garanti à 100%, avec pour tous et toutes un minimum garanti basé sur le cout de la vie dans le pays.
Les organisations membres du Réseau syndical international de solidarité et de luttes soutiennent les travailleurs et travailleuses d’Italie qui seront en grève demain ; dans chaque pays, des résistances s’organisent. C’est nécessaire : la priorité, c’est la lutte contre le coronavirus ; encore faut-il se donner les moyens de la mener et ne pas faire passer les intérêts des capitalistes avant !
Partout, il faut limiter les activités professionnelles au strict nécessaire pour la vie de la collectivité ; arrêtons de faire prendre des risques à toutes les personnes qui ne le font que pour satisfaire « l’économie » c’est-à-dire en fait les profits d’actionnaires … qui, eux, d’ailleurs, ne s’exposent pas aux risques.
Les travailleurs et travailleuses, la population, avec leurs organisations syndicales, sont les mieux placés pour définir les activités vraiment essentielles ; elles doivent être réduites au strict minimum (ce qui se rapporte au sanitaire et à l’alimentation). Pour le reste, patrons et actionnaires ont accumuler assez de profits au fil des années ; ils peuvent très largement survivre même si les entreprises s’arrêtent quelques temps.
Celles et ceux qui travaillent dans des services effectivement essentiels sont les mieux placé.es pour définir dans quelles conditions le faire. C’est à eux et elles de définir l’organisation du travail, le temps de travail, les effectifs nécessaires etc. organiser collectivement le travail à tout point de vue (temps de travail, organisation, etc. ; pas aux patrons et aux « chefs » qui sont … chez eux.
Tous les travailleurs et toutes les travailleuses, quel que soit leur statut (salarié.es, indépendants, au chômage, intérimaires, saisonniers, etc.) doivent voir leur revenu garanti à 100%, avec pour tous et toutes un minimum garanti basé sur le cout de la vie dans le pays.
Les organisations membres du Réseau syndical international de solidarité et de luttes soutiennent les travailleurs et travailleuses d’Italie qui seront en grève demain ; dans chaque pays, des résistances s’organisent. C’est nécessaire : la priorité, c’est la lutte contre le coronavirus ; encore faut-il se donner les moyens de la mener et ne pas faire passer les intérêts des capitalistes avant !