Pologne : A Poznan et ailleurs, les travailleurs et travailleuses ne doivent pas payer pour la crise sanitaire du Covid-19 !
Solidaires (CM)
Au début de l'année 2020, plusieurs organisations syndicales de la ville de Poznan ont signé avec la ville un accord prévoyant des augmentations de salaire au cours de cette année, pour le personnel des usines, services, institutions dépendant du budget de la ville.
Fin juin, alors que les directions d’entreprise devaient convenir avec les syndicats des dates d’application des augmentations, la ville a renié l’accord signé. Des syndicats ont accepté un nouvel accord qui entérine cette suppression des augmentations salariales pour cause de Coronavirus ! Ce n’est pas le cas de Inicjatywa Pracownicza (Initiative des travailleurs), membre du Réseau syndical international de solidarité et de luttes, qui mène bataille pour que les augmentations prévues soient appliquées.
A Poznan, en Pologne, dans toutes les régions du monde, les travailleurs et travailleuses n’ont pas à payer une nouvelle fois la crise du Covid-19. Nous avons été, et nous sommes encore, en première ligne ; nous subissons des conditions de travail qui, trop souvent, nous mettent en danger. Et maintenant, il faudrait aussi que le Coronavirus soit le prétexte à bloquer nos salaires ? Il n’en n’est pas question ! Nous soutenons la lutte de nos collègues de Poznan !
Fin juin, alors que les directions d’entreprise devaient convenir avec les syndicats des dates d’application des augmentations, la ville a renié l’accord signé. Des syndicats ont accepté un nouvel accord qui entérine cette suppression des augmentations salariales pour cause de Coronavirus ! Ce n’est pas le cas de Inicjatywa Pracownicza (Initiative des travailleurs), membre du Réseau syndical international de solidarité et de luttes, qui mène bataille pour que les augmentations prévues soient appliquées.
A Poznan, en Pologne, dans toutes les régions du monde, les travailleurs et travailleuses n’ont pas à payer une nouvelle fois la crise du Covid-19. Nous avons été, et nous sommes encore, en première ligne ; nous subissons des conditions de travail qui, trop souvent, nous mettent en danger. Et maintenant, il faudrait aussi que le Coronavirus soit le prétexte à bloquer nos salaires ? Il n’en n’est pas question ! Nous soutenons la lutte de nos collègues de Poznan !
