Non à la peine de mort en Iran !
Solidaires (CM)
Encore une autre fois la haine profonde qu’éprouve le régime répressif iranien à l’égard son peuple fait la une des médias mondiaux. Pour contrôler cette société agitée, le régime iranien a multiplié les exécutions et les condamnations à mort, en particulier contre les manifestants détenus lors des soulèvements de janvier 2018 et de novembre 2019.
Amir Hossein Moradi médaillé d’argent de l’Olympiade d’astronomie en 2017, Ali Younessi médaillé d’or de l'Olympiade mondiale d’astronomie en Chine en 2018, Navid Afkari un lutteur très célèbre dans son pays ayant remporté plusieurs championnats, sont tous dans le couloir de la mort pour avoir participé aux manifestations contre la vie chère de novembre 2019 en Iran. Ils sont quelques figures célèbres parmi des milliers inconnus.
Le dernier rapport d’[Amnesty International->https://www.amnesty.org/en/latest/news/2020/09/iran-detainees-flogged-sexually-abused-and-given-electric-shocks-in-gruesome-post-protest-crackdown-new-report/], «Iran : l'humanité piétinée» dénonce :
- L'utilisation généralisée de la torture avec des coups, des coups de fouet, des décharges électriques, des positions douloureuses, des simulacres d'exécution, le « waterboarding » (simulacre de noyade), des violences sexuelles, l’administration par la force de substances chimiques et la privation de soins médicaux ;
- Des procès d’une flagrante iniquité pour des accusations sans fondement relatives à la sécurité nationale, auxquels plusieurs centaines de personnes ont été soumises ;
- Des condamnations à mort prononcées sur la base d’« aveux » entachés par l'utilisation de la torture.
En plus de la répression officielle, le régime iranien se sert de l'épidémie de coronavirus pour se débarrasser de ses prisonniers politiques. Des documents officiels qu’Amnesty International s’est procuré révèlent que le gouvernement iranien a ignoré les demandes réitérées de ressources supplémentaires formulées par de hauts responsables de la gestion des prisons en Iran en vue de contrôler la propagation du COVID-19 et traiter les détenus atteints. Pour le régime tous les moyens sont bons pour anéantir les opposants et semer la terreur dans la société.
Les organisations membres du Réseau syndical international de solidarité et de luttes,
- réaffirment leur soutien au peuple iranien et leur solidarité envers les travailleurs et travailleuses d’Iran,
- condamnent la répression et le harcèlement subis en Iran par des enseignant·es, des syndicalistes, des militant·es des droits sociaux et humains, des artistes, des kurdes et des citoye·nes ordinaires,
- demandent l’annulation de toutes les condamnations injustes et contraires aux libertés et droits fondamentaux ; ainsi que la libération immédiate et sans condition, pendant cette pandémie du virus Covid-19, de tous les militant·es emprisonné.es en raison de leurs activités syndicales.
Amir Hossein Moradi médaillé d’argent de l’Olympiade d’astronomie en 2017, Ali Younessi médaillé d’or de l'Olympiade mondiale d’astronomie en Chine en 2018, Navid Afkari un lutteur très célèbre dans son pays ayant remporté plusieurs championnats, sont tous dans le couloir de la mort pour avoir participé aux manifestations contre la vie chère de novembre 2019 en Iran. Ils sont quelques figures célèbres parmi des milliers inconnus.
Le dernier rapport d’[Amnesty International->https://www.amnesty.org/en/latest/news/2020/09/iran-detainees-flogged-sexually-abused-and-given-electric-shocks-in-gruesome-post-protest-crackdown-new-report/], «Iran : l'humanité piétinée» dénonce :
- L'utilisation généralisée de la torture avec des coups, des coups de fouet, des décharges électriques, des positions douloureuses, des simulacres d'exécution, le « waterboarding » (simulacre de noyade), des violences sexuelles, l’administration par la force de substances chimiques et la privation de soins médicaux ;
- Des procès d’une flagrante iniquité pour des accusations sans fondement relatives à la sécurité nationale, auxquels plusieurs centaines de personnes ont été soumises ;
- Des condamnations à mort prononcées sur la base d’« aveux » entachés par l'utilisation de la torture.
En plus de la répression officielle, le régime iranien se sert de l'épidémie de coronavirus pour se débarrasser de ses prisonniers politiques. Des documents officiels qu’Amnesty International s’est procuré révèlent que le gouvernement iranien a ignoré les demandes réitérées de ressources supplémentaires formulées par de hauts responsables de la gestion des prisons en Iran en vue de contrôler la propagation du COVID-19 et traiter les détenus atteints. Pour le régime tous les moyens sont bons pour anéantir les opposants et semer la terreur dans la société.
Les organisations membres du Réseau syndical international de solidarité et de luttes,
- réaffirment leur soutien au peuple iranien et leur solidarité envers les travailleurs et travailleuses d’Iran,
- condamnent la répression et le harcèlement subis en Iran par des enseignant·es, des syndicalistes, des militant·es des droits sociaux et humains, des artistes, des kurdes et des citoye·nes ordinaires,
- demandent l’annulation de toutes les condamnations injustes et contraires aux libertés et droits fondamentaux ; ainsi que la libération immédiate et sans condition, pendant cette pandémie du virus Covid-19, de tous les militant·es emprisonné.es en raison de leurs activités syndicales.